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""' 117 :Ln vent associés des Guifroi, des Rostaing (Roslagm1s) et des Ganteaume (Wanlelmus), et qu'en Italie il existe, au dixième siècle, un comte Hosta ing, père d 'un comte Nanteaume (Nallelmus) et aïeul de l'évêque Odelric de Crémone (1). Un Guifroi , fils de Suppon III et neveu de l'impératrice Engelherge, est comte de Plaisance vers 890; il y aura corn me successeur, vers 805 (2), notre Sigefroi , plus t ard comte de Milan. - · Un autre Guifroi, de race et de loi burgonde, est pè– re de la comtesse Liégeard, qui épousa successi– vement le rn.arquis Oldéric (i" 922) et le comte de Bergame Gilbert-Samson (3). Ü 0 - Une proche parente de Humhert aux Blanches-Mains est Thiberge (4) comtesse de Lyon , femme d 'Artaud et mère de Gérard , d 'Artaud et de Robant (Rothildis). Sur l'origine de ce tte com– tesse Thiberge, on ne sait rien de précis, sinon qu'elle est l'héritière d'Hugues (5) - celui-ci étan t soit le comte Hugues, mari de Guill e, soit leur petit-fils, homonyme de son grand-père. Le nom de Thiberge rappelle tout naturell e– ment celui de la comtesse homonyme, sccur du roi Hugues, femme de Garnier de Troyes et mère (1) Codex diploin. Langob., n. 644 et 8G5. (2) Jl!Ulheilungen des Instituts jïir Œsterreichische Geschi– chtsforchungen, vu, p. ±±8 i·t 450. (3) Oodex d·iploin. Langob., n. 534 ; V. AFFO, Parma, 1, p. 851 et 353, (4) Chartes de Cluny, n. 2673; Cart. d' Ainay, n. 147 et 191 ; Oart. de Savigny, 437 et 602. (5) Cartulaire d'Ainay, n. 147.