BASA

cm 129 oP> note 3) avec rabbé agaunois Burkard III, frère de l'évêque Aymon et son successeur depuis 1050 ù 1068, Burkard Ill, dis-je, auquel l'on ne saurait rien reprocher de semblable. 3) D'ailleurs, Burckard II, durant la guerre de cession provoquée par le décès de Hodolphe III, en septembre 1032, Burckard II e t sa famille ap– paraissent, en 1033, surtout en 1036, parmi les adversaires de Conrad II, tandis qu e Blanches– Mains, comte d 'Aoste, commande en chef les trou– pes de l'empire, auquel ses descendants demeu– reront fidèles pendant des siècles, remplissant, pour ainsi dire, les fonctions de fourriers des empereurs. Comment, dès lors, rega rder Humbert et Ilurckard II comme père et tlls '! -1-) Bien que les fils de Blanches-Mains con– tinuassent la fortune de leur père, ils ne portai ent pas avant le xumc S. le titre de comtes de Savoie dans les actes, ce que les partisans d'un seul Humbert reconnaissent ; ils s'intitulaient comtes de Mauri enne . - Le premier Amédée III, dans la charte de fondation d 'Haute-Combe, en 1125, si– gne avec la qualification de comte de Savoie , adoptée officiellement sous Thomas, vers 1200 seulement. 5) Les successeurs immédiats de Blanches- 1\iains ne possédèrent p .is, tout d 'abord du moins, les comtés de Savoie... de Bell ey qui alla à l'é– vêque de ce diocèse ; et des Equestres, passé aux comtes de Genevois. Or, ri en n 'expliquerait la déchéance de ces dynastes, rien. Voilà qui nous engage à admettre l'existence d'Humbert le Vieux et Humbert aux

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