BASA
"°" 131 = Qua nt a u Chablais, où le monastèr e Agaunoi s, d epuis la ch ar te de Hodolphe III en 1017, ava it de nombre uses terres : une parti e du bourg de S. Mauri ce, Ollon , Vonvry, ainsi que tontes les Alp es, de Marti gny au Lac , il constituait un comté, plu s tard un p e tit duché au pouvoir <l e ses succes– se urs, dès le x1e siècle, sinon auparava nt ; qu e ces territoires aient passé directement à Blanches– l\lains comme récompense d e ses services ou a u– trement par succession d e Hodolph c III. Plein de jours et de gloire , Humbert mourut vers 1050, bissant à ses d escendants, o utre le comté d 'Aoste, de vastes doma ines en M::iuri enne, en Tarent::iise, en Savoie ainsi que dans la rn llée du Rhône. Comment expliquer, en parti culier, l'acqui si– tion par lui et ses descendants de t erres du Va lais? 1) Par son alliance avec un e comtesse de Len– hourg; 2) P :tr la commend e tle l'Abbaye de St-Ma u r ice ; 3) Pa r des échanges et des achats . CHAPITRE II . la famille et l'épouse de Blanches-Mains. Humbert, décédé ve rs 1050, l a issait Amédée 1, son s uccesseur, Aymon , évèlJUe de Sion , Othon époux cl ' Aclel aïde de Suze, et Burckard , abhé d e St-Maurice. D'Amédée I, qu'il ne faut pas con– fondre avec son homonyme , fils d 'Humbert le Vieux, de Belley, l es chartes n 'en parlent guère.
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