BASA
~h a noi n es, cr oix por tée pa r les vén érables de l a Communaulé jusqu 'en pl ein XlX'"" si ècle. Enfin, ve rs 1835, sur les instan ces du chanoine Cherva z Didi er , an cien aumôni er milit aire en Pi émont, l e r eprésent ant sarde auprès d e la cour romaine s'employa avec succès à obtenir à l'abbaye l e t i– tre d 'évêque de Bethléem . Si les comtes de Mauri enn e, jaloux. de leu rs d r oits, défendir ent le nrs intér ê ts, p arfois avec té– n ac ité, les comtes de Savoi e s urent améliorer leurs r el ation s a vec l a roya le Abbaye, au point de les r endre cordiales. Ce monastèr e r endait bien au x. souverains piémo n tais l eurs marques de sympa– thi e et d 'a ttachement. Ainsi , il üéputa , en 1834, à E vian le ch a noine Doccard , l' hi s to r ien , pour sa– ]u er Charles-Albert , à son passage d ans ce tte ville, a u n om de l'antiqu e communauté d 'Aganne. CHAPITRE IV. Echanges et achats des princes de Maurienne-Savoie en Valais. Les comtes Mauri enne-Savoi e eu re nt soin de fortifi er leur position en Valais par des éch anges et des achats. Par testament, Aymon de Ma uri enne-Sa voie, évêque d e Sion, en juin 1052, céd ait ù son église de S. Mari e, des d r oits à Orsi èr es, Saillon , Ayent , Suen (Hér ens), Sierre , Vissoie, Grengiols, Mœ r ell. Or, les rôles du chapitre n 'en fir ent jamais men– tion .
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