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= XX YTJJ = certain nombre de documents cmbrc1 ssant deux siècles. On sait le rôle remarquable et bienfaisant, sous plus d'un rapport, que joua dans le Duchè le Secrètairc ducal Jean Vuillet, fondateur de la lignée. M. Favero incite les èrud its et surtout les amis de l'histoire à alimenter par leurs éludes et leurs ouvrages le ·souvenir et le scntimP.nt de la reconnaissance pour ces nobles familles qui ont travaillé et lutté pour la petite patrie, qui ont laissé des empreintes de bienfaisance, bâ ti ces demeures si èvocatrices, aimè ces mon Lagnes et conti– n uè ces traditions familiales qui -;ont encore une partie de nous-mèmes et qui constituent l'hèritage moral, le ca– ractère ethnique et la vie d' un p e tit peuple qui ti ent à se s urvivre. L'Abbè Durand donn e, pendant quelques instants, lec– ture de son étude su r les phi losophes Valdôtains. Il dit que si leur nombre a dèpassè celui des poètes, huit seu– lement, en faisant abstraction de S. Anse lme, qui déborde les horizons de notre Vallé e, ont laissé des ouvrages. L'au– teur trace un bref aperçu des Réflexions philosophiques sur les rapports de l'intelligence créée avec l'fnl el/igcnce créatrice puis du Napoléonisme: deu x productions de !'Abbé Martin 13runod, Curé d'Etroubl es, vexé par Napoléon. Il s'a rrête davantage sur Les ombres de Desca rtes, Kant el Jo u ffroy a V. Cousin du P ère Laurent. L'Abbé Durar.cl montr e com– ment l'il lustre moine combat, sous forme de dialogue, le cartésianisme et l'éclectisme. Ce traité philosophique vaut par s:>. forme franchement classique. Deux autres livres de poids qu e le rapporteur veut faire apprécier ce sont: L'homme i ndivid11 el el social à ca· ractère psychologique, e t Dieu 011 le revolver où l'Avt. Gal prouve par des exemples frappants que l'athèisme e t l'ir– réligion ne peuvent conduire qu'a u s uicide, it l'an a rchi e, au subversivisme, au x meurtres. Avant de clôturer la séance Mgr le vice-Président Bo– son annonce que le Bulletin du Centenaire est sous presse à !'Imprimerie Catholique, et invite M. Favero à donner la nécro logie du dernier membre décédé, M. le Comm. Emile Pinchia.