BASA

« prorompere, in un impeto irrefrcnabile di patriottismo, « nel grido fatidico: per i no stri morti, per il no s tro pas– « sato, per il nostro avvenire, evviva il He, cvviva la Patria « immortale. » • • • Comme écrivain, il nous reste de lui, outre ses nom– breux discours, de p etits portrait s :'1 la plume, dédi és tantôt à l'abbé Cerlogne, tant ô t au Commandeur Chan. Gabriel Frutaz et tant ô t encore au Pays natal, dis co urs qui ont été publiés s ur la Revue 1 ug11sla Praeloria. L'av t. Chabloz nourrissait un culte tout particuli er pour l'abbé Cerlogne, le Félibre Valdô tain, et il était touj ours heureux de pouvoir lui offrir l' ho spitalité ù Aoste ou à Cour– mayeur, le seco urant au besoi n, concourant à l'achat de ses déco rations el l'aidant dans plusie urs autres circon s– tances de la vi e. Il fi:.t l'âme des fètes cé lébrées en 1902 en honneur du jovial troubadour. No us trouvon s dan s la citation suivante, l'esse nce mê– me d e l'es prit patriotiqu e de ce lui que nous commémo– rons: « Le bon Cerlogne, dit-il dan s le médaillon dédi é au « poéte dialectal, le so lda t de son Di eu et d e son Roi, qui « avait tant aimé sa Va ll ée d'Aoste, avait voulu que sa bi ére « fut portée en terre couverte d'un drapeau tricolore; et « rien n'était plu s touchant que de voir ce bon vieillard « de 8! ans couronner sa vie en s'efforçant de prouver « encore une fois que notre culte pour la petite patrie « n'es t qu'un e forme et un coefficit:nt de notre attache– « ment à la grande patrie italienn e. » Sur la tombe de l'Avt. Ch abloz, le Procureur du Roi près le Tribunal d'Aos te, Comm. Capu! exprimait les m ême s sentiments dan s ces termes : « E il s uo, o signori, corne « quello di tutti i Valdostani d ella s ua levatura intellettua– « le e moral e, er a un va ldos tane simo che ben potrehbe " dirsi il migliore hrodo di co lt ura dei più inalterati e " dei più inalterabili sentimenti di italianità; un va ldosta– < nesimo che non esclude ma implica l'amore della più " grande madre, la patria cornune. Chè, o signori, l'avvoca-

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