BASA

c to Chabloz, mente eletta ed animo ardente e genel'osô, " ben sapeva che, corne non si puo' veramente amare la " patria quando non ci si senta tenacemente attaccati al " suolo che ci vide nascere, e non si puo' con generoso ar– " dore, quando la diana squilli, correre alla difesa dei sa· " crosanti confini della patria, se prima non ci si abitui " a conferire ai più ristretti confini della nostra piccola " terra il significato ideale di una barriera insormontabile >. Et l'Avt. Chabloz en cordiale entente avec les admira– teurs du poète, fait èriger et inaugurer, en juillet 1914, à Saint-Nicolas, sur un emplacement plein de charme et de poésie, un monument, pour lequel il a dictè lui-même cette épigraphe: AU FÉLIBRE VALDÔ'l'AIN QUI CHANTA LA VALLÉE D'AOSTE DANS LE DIALECTE DES ANCJ;:TRES. César Chabloz résume l'œuvre de Cerlogne en ces ter– mes: c L'œuvrc de .J.-B. Cerlogne rappellera à nos descen– " dants ce qu'il y avait de simple et de touchant dans la " vie de nos ancêtres qui disparaît. Il leur rappellera ce " qu'il y avait chez nos aïeux de poésie, de bonté, de sin· c cérité, de générosité, de religion profonde, d'affection " sincère pour le pays natal. c Notre vieux félibre fut aussi prêtre et soldat comme " le furent les chefs des anciens Salasses; et dans les loin· " tains souvenirs de nos familles, dans la brume des siècles < à venir, Cerlogne s'estompera avec le triple caractère de " ces bardes qui déposaient la framée pour inviter le peu· c pie à chanter la terre féconde, les espérances des vivants c et le repos des morts. Et son œuvre sera immortelle, " car les Valdôtains n'oublieront jamais l'hommage qui est " dû à la sincérité des meurs, au passé laborieux, à l'ave· c nir souriant de leur pays enchanteur. > • • • Nous devons pareillement à l'Avt. Chabloz le beau mé– daillon dédié au Chan. Comm. Gabriel Frutaz, l'illustre historien valdotain. Cette œuvre d' une rare beauté a été publiée en entier par la Revue Augusta Praetoria.

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