BASA

LE THÉÂTRE ROMAIN D'AOSTE après les fouilles récentes E n 1862, l'émérite Chanoine (i-al Pri eur d e la Collégiale, écrivait, (r) au suje t de notre Théât re Ro– main d'Aoste: « Tous ont v u et admiré le fr ontispi ce d u théâ tre romain et les beaux r estes de l'amphi– théâtre qu'on trou ve dans le couvent des Sœurs d e S. J oseph . Quelques-uns l' a ppellent mal à propos cir– que ou colisée. Ce théâtre était plus g rand que cel ui de Cimié (Cemela) l' ancienne capitale de la LigT1rie, cln nt j'ai vu les ruines en 1850. D'apres la manière de penser des archéologues li guri ens , celui-c i contenait huit mill e spec tateurs, t a ndis que celui-là d evait, selon ses di mens ions, en renfermer vingt mille, nombre qui serait, selon le sentiment cle quelqu es auteurs, le ti ers de la populati on de la vi ll e à cett e époque » . Promis, dans les Antichità di Aosta en I 86+ p;ig. 1 64, oriente du levant a u cou chan t le théâ tre roma in cl' Aoste : « il suo asse capitale va da occidenle ad oriente, « cosicchè la scena guardava a sera e gli spettatori erano « volti a mattino . La sua figura che è un rettangplo col « lato minore ed occidentale cu rvilirz eo .fu motioata dalle « cfrcostanti lin ee ,1tradrtli » . (r) Coup-d'œil sur les anti1uités de la Vallée d'Aoste. - 1',oste rS62.

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=