BASA

-- t; k - pion Borghese, sa collaboration assidue, recherchée à l' « Emporium n, puis à la « Rivista del T. C. I. D, aux (< Vie d ' Italia)) qui ont publié de . lui , en janvier 1936, un superbe article illustré sur la mise en valeur du bassin du Breuil. Cet article a été tiré à part à 25000 ex ., traduit en français, en anglais, Ici c'est le cas de rappeler un a utre voyage-pèlerinage entrepris par un ill ustre valdôtain , M. l'Avocat J ean Bap– tiste Gal, dans son (( Voyage en Terre Sainte >>, dont les notes ont été publiées en z volumes et se lisent toujours volontiers. Mgr Capra est également un grand coureur de– vant le Seigneur. A cette h eure il n'est pas de Pays si éloi– gné, si fermé qu'il n' ait visité . Il a débuté pour le compte de l' (< Italica Gens n. Ces explorations religieuses, scienti– fiques, patriotiques, ont forcé le Gouvernement à créer pour lui une chaire de voyages aux Universités de Rome et P érouse . Du côté français la Vallée a été visitée par l' abbé P. Courtès qui en a parlé dans ses (( Impressions», par M. Edouard Aubert, qui a vou lu résumer dans quelques courtes pages sa vision cl' Aoste : « 15 jours à Aoste n. Plus récemment la Vallée a été visitée par deux Florimontans, Charles Marteau et Gaston Leroux, qui ont publié leurs bienveillantes impressions sur la (< Revue Savoisienne >> . Le dernier à s'occuper de notre Pays ç'a été M. L. Mirasson dont l' article a paru dans les pages de .la « Nouvelle Re– v ue >> en 1934· Du côté italien , on pourrait le dire, le désir de faire connaître la Vallée n'a pas _été moindre. Dès 1835 la com– tesse de Mombello en parlait dans ses « Frammenti di un viaggio n ; 4 ans plus tard c'était le célèbre Prof. Baruffi qui consacrait à Aoste sa ·lettre XXVe ; en 1877, celui qui devait devenir le ministre Benedetto Prina faisait paraître

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