BASA

- 188 - F. Fénoil : cc La terreur sur les Alpes)), 3me édition ; Nicolas Champlot : cc De quelle manière furent délivrés messieurs les ôtages du Duché )) , Feuille cl' Anponce 1879 ; Benjamin Favre : '' J\.echerches historiques sur le Val– digne J); Silvain Lucat : <c L'invasion française de 1669 n. Napoléon aussi chez nous a alimenté tout une litté– rature. Pendant les années · de son triomphe, il se faisait suivre partout de ses artistes, de ses peintres, de ses scri– bes, de ses poètes. Des historiens militaires ont donné le récit de ses campagnes. Les amis de l'histoire du pays ont tenu à rectifier certaines légendes. Napoléon a inspiré les poètes, toujours faciles à l' enthousiasme, puis sont venus les historiens qui ont montré de quel sang et de quelles larmes cette gloire était faite ; les polémistes comme Bru– nocl, comme Frutaz, archiprêtre de Gignocl, qui l'ont dé– moli clans l'estime des foules, qui ont souffert d'être as– treints par devoir à célébrer ses victoires et qui s'en sont vengés en écrivant, l'un le '' Napoléonisme D, l'autre ses cc Mémoires sur ce qui est arrivé clans le Duché cl' Aoste à partir de 1793 ii. cc Le Valclôtain )) s'est signalé par le nombre et le mor– dant des articles consacrés à Napoléon et à son œuvre. La plupart de ces articles portent la marque bien évidente du Chan. Frutaz, qui a encore laisse de nombreuses pages inédites sur le cc Passage des troupes françaises à Aoste en 1800 )), Sur Napoléon il y a encore un opuscule du Chan. Vesco ainsi qu ' une brochure en italien, avec deux éditions, du Prof. Silvio Pellini du Lycée cl' Aoste. La Brigade Aoste attend encore son historien tandis que la Brigade Savoie a le sien depuis 1906 et de valeur, M. le Baron du Bourget.