BASA

- X X I V - seurs et d 'abbés. Bientôt le Chan . Tousco, dépeint par un artiste de valeur, ira prendre sa place officielle dans les corridors du Séminaire, dans la galerie des bienfaiteurs. Après les prêtres ce sont les pauvres du Refuge, les Or– phelines de St. Joseph , les œuvres de Don Bosco qui for– ment son souci . Il pense ensuite à l' enfance de la paroisse qu'il a régie pendant r6 ans, Aymaville, à celle de son pays natal, Gaby, en formant une belle dotation en faveur des Asiles respectifs. Comme nous l'avons vu, il a été un des rares qui ont pensé à soutenir pendant sa vie et après sa mort l'œuvre de culture si patriotique, si belle que pour– suit l'Académie de St. Anselme. Il fait encore des fonda– tions de messes, des services à Gaby et à Aymaville. Lui qui admirait si fort l'œuvre, les industries pastorales de son cher ami M. Louis Jans, qui par la parole, par le Bul– letin a su susciter tant de sympathies en faveur du sanc– tuaire du Vourro, des chapelles, du clocher, du cimetière, de l' église, ah ! pour sûr il ne l'a pas laissé seul à la be– sogne. Pendant sa vie et après sa mort il a été son colla– borateur le plus fidèle, le plus puissant, comme M. le Prieur Emmanuel Gorret l'avait été de M. le Chan. Bordet, arch. d 'Antey, dans l'érection de l'Asile local.