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- xxn - \(Fe uille ,, 5 pièce:; qui sont parmi les plus belles du re– cueil : « Retour», « A ma mère », « Automne», « A mes amis de Gressoney », \(S ur la montagne», «A un ami le jour de ses noces)) . Il y ·a suiiout « A ma mère » et « Sur la montagne )) qui sont de purs chefs d 'œuvres dignes de figurer dans la future \( Anthologie des Poètes Valdôtains ». Nons citons (( A ma mère » parce que plus courte : c'est un sonnet. A ma mère. H eures calmes du soir, tendres épanchements, Onde fraîche qui coule a u cœur, souffles, rosées, Parfums d e l'âme par l' amour arrosés, Ob ! clartés du foyer, t endres épanchemen ts - Qua nd a ux pied s de sa mère avec ses yeux a imants, Son front mobile et doux , où germent les pensées, Blondes comme l 'étoile et comme elle irisées, Extases, visions, espoirs, ravissement s ! L' enfant à d emi voix murmure sa prière, Un a nge la recueille et la porte légère, Pour la répandre, en cens, aux pied s rl e l'Etern el 1 L es doigts joints il s 'endort : un baiser d e sa mère Ferme ses yeux penchés qu e rouvre la lumière D es rêves dans la m er ineffable du Ciel ! Voici quelle est sa situation de famille. M. le Comman– deur H enri P errod a épousé à Montevideo, voilà 58 ans, une Jeune fill e des principales familles du pays, Adèle F erber.