BASA

- XXXH - COMMÉMORATION M. le Poète LOUIS ISIDORE VIÉRIN Secrétaire admini•lrafil au Municipe d'Aoste « Oh ma Muse qui crois que mon âme, plus grave, Puisse encor s'attendrir sur un rêve et cha nter. .. Tu n 'as pas mis t es yeux da ns mes yeux cla irs qui savent... Tu me pris par un bras et tu me dis: la vie C'est le bonheur d 'aller , les mains pleines, donna nt Ce qu'on a, sans m entir. .... Tu m 'as bercé jadis a u chant d e t a prière, J e t e berce aujourd'hui presyul: indéünirnent A l'ombre d'un rosier, au coin d'un cimetière Puisque a vec toi, sous toi, dort mon âme d 'enfant ! ». L T. v nrnTN . Notre terroir valdôtain, dans sa physionomie patriar– cale, l'Académie de Saint Anselme, qui garde la vieille flamme de nos traditions et de notre culture, la Munici– palité de la Vill e, l' Association des Invalides de Guerre, ont perdu avec LOUIS ISIDORE VIÉRIN un talent de tout premier ordre : patriote émérite, fonctionnaire cour– tois, intègre et laborieux, homme de lettres à la plume alerte et imagée, poète de grande haleine.

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