BASA
- XXXVII - Notre littérature est redevable à M. Viérin d ' une con– tribution parmi les plus fécondes et les plus précieuses. Poète de la pensée et de l'action il a su passer sa courte vie d'ici-bas , embrasé d 'amour et de dévouement. Avec le culte de la foi, il a connu et, mieux encore, pratiqué celui de la charité qui ·console ; il a su se priver et donner pour que les souffrants, les déshérités de la fortune eussent du réconfort : il a lié son nom à des œuvres de philanthropie telles que celles des Saints Cottolengo et Don Bosco . C'est donc un Valdôtain d'élite et, en tout, cligne de ce nom quand tant de caractères s'effac ent, qui nous a quitté. Mais son souvenir demeure toujours vivant, tou– jours sublime, toujours évocateur de tendresse, comme les pages ensoleillées qu'il a su graver à jamais . Rodolphe Coquillard.
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