BASA

nvait jadis autouir de tous les vi<llages et étaient commune comme les fours à rpain et les moul·ins. Maintenant la cultu1e du chan•vre aya~t presque cessé, les piscines en rnÏi1iature n ont plus leur raison d 'être. Çuan1t à Maxime Duran:d, il signale les som1ces mé– sologiques et littéraires qui ont inspiré les premiers grands ehefs-d'œuvre du génie italien. Il est avéré et indéniahle que Dante, Boccace, Pétrarque, plus tard V. Alfieri, •l\funzoni, ont séjourné en Firance, ont èultivé 1.'i<l.iome <l'outre-mont, ont puisé l'arrgement aux sources françaises. Le rapporteur ne se fait point faute de rap– peier aussi que îa 'Renaissance est exclusivement ita– lienne: dam• les ~HtJres d'abord, avec l'Arioste et Ma– chiavel; dans les arts, avec 'Léonard de Vinci , Raphaël, sous les auspices du 1Pape Léon X, l'Ttahe . au début du 16.me siède , a réalisé son idéal nouveau avec splendeur. Séance du 6 Juillet 1939 i\lonseigneur le Président Boson s'applique à dé– mrmtirer que hi larnigu e sud - a:mlbiqne a eu une grande prépo1~:1er.·a11:ce clans ·l'É'.thiop;e. À cela, rien d' 'étolll,.. !t1."lnJ., car : 1 a pc,'PnJ:at'.fon d e ceit:te va'ste contrée r'sulte dn <P1élange de plusieurs types ethniques, dont deux vi.– vaieut déjà en Egypte à• une époque fort lointaine. Des Cémites venus du Sud. de P Airahie et quelques nègres ont mêlé l•eiur sang 'à ceilt.1i des vieux habitants. M:gr Boson nous informe aussi que le plus ancien monument de la littérature éthfopienne est une version d~ la Bible. Après cet-te dissertation savante c'est le tour de M . le Cùan. Bré<m. On écoute avec intérêt la suite de sa m0uogiraphi·e sur l 'Egllise de Bru6Sün . C'est le clocher qùi fait aujourd'hui l'objet de son entretien. Ces clo– cl-Jers antiques, dont la vue soulaige et console le pèlerin

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