BASA

J!1 fut èe ces h i 1 stcdens , tjui sur les traces du Prieur Ga:!, des Frutaz, des Mgr Duc, des Tibaldi , des Broch erel, des Boson, des Y es,an Sylvain, des Lucat, démontrenJt ce que trop de gens feignent de ne pas croire, savoir: que J ·on peut éc1'ire sur des ma– ti~res scie:ntifiques, disons hi 3toriques, et écrire mer– veilleusement et, que 1es agréments du style n'enlè– vent rien à la profondeur des doctrines et à la clarté cb l exposition. Plour commémorer le cinquantenaire du Refuge des Pauvre s, a retraça dans ,fo~, Revue ré– giona1;1ste << L ' Augusta Prœtoria » de novembre 1919 la venèse et les vicissitudes de cette institution provi– dentielle. Dans la même Revue, année 1924, i,l célé– brd les ex·ploits 'l·ég endaires des bait2~llons valdôtains sur 'les divers fronts de la gr1ande guerre; les gestes ér~~qu":s de ces fiers a lpins, hélas trop méconnus, qui ont pourtant cimenté de leur sang lies assises dé l'Ita– lie nouvelle . Dans le Bulletin de l'Académie (1937), 11 pré>:enta comme un tableau, sous ile titre << Coup d' œil sm les productions historiques et scientifiques du Du– chf> d' A o.ste ». Beau travail qui équivaut à une hibho– graµn ie sav&ntle et raisonnée de la science et de 1'his– bo;re valdôtaline; un travail uüle au premier chef, comme l'a appelé .le Duc de Bauffremont, parce qu'il e$t· .la source à ·laquelle devront puiser tous ceux qui s'occupent <lu patrimo~ne l 1 ittéraire o.t scientifique de notre Va! J.ée . Il y a bien, certes, quelques J,acune3, par ex. entre autre's, il'omission de la belle biographie et aécrologie du P. Bernard Viérin, rédigée par le Sém;na riste d'alors, M . '!'Abbé Romain Yesan, finale– ment Chanoine de t] 'lnsign,e Collégiale.

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