BASA

u:n 88 u:n 3°) de créer une pépinière de jeunes gens qm soient à même de se servir avec la même facilité des deux langues et de pouvoir obtenir des placés soit comme interprètes, soit com– me professeurs de langue française, soit comme employés d' ambassades, de consulats et de maisons italiennes et françaises à l'étranger; 4°) de permettre à toutes les familles qui désirent faire bien apprendre la langue fran– çaise à leurs enfants, de trouver, ici même, des écoles, réalisant pleinement leur désir, sans besoin d'aller en Suisse ou en France. 5°) d'aider nos émigrants sur terre étrangère, à trouver du travail ou des places pour gagner leur vie: un émigrant connaissant la langue du pays, où il se rend, est toujours mieux accueilli et plus considéré. C'est a10s1 que dans · les villes vo1s10es du Piémont (Turin, Pignerol, etc.) on a ins– titué des écoles pour l'enseignement du fran– çais aux futurs émigrants.

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