BASA
nau x rédigés e n tout ou en partie en lang ue françai se, et le « Messager Valdôtain » r 946 et r 947 publiant lui aussi quelques articles et des chroniques en notre lang ue maternelle. On ne peut pas non plus oublier que le jour– nal « L ' Uni.on Valdôtaùze » a publié en I 946 un bulle tin scolaire, qui a été d'un grand · se– cours pour nos instituteurs, ni le bulle tin men s.uel « L ' E cole V aidôtaùze » - imprimé depuis deux années, à Paris, sous l'égide de !'Emigration Valdôtaine et du journal «La Vallée d'A oste» - et envoyé g ratuitement à tous les Instituteurs des écoles primaires du pays. L 'académie de Saint Anselme ti ent à nou– veau ses séan ces et publie son xxv1me bulle tin. Bon nombre de communes, ont te nu à avoir des cours de françai s, qui ont été assidûment suivis par des gens de tout âge . Quelques un es d' entre elles (Cog ne, Châ til– lon) r édigent déjà en françai s leurs délibérations administratives. C'est encore notre langue qui a résonn é dans les cong rès et les réunions, qui se sont t enus un peu partout en Vallée d 'Aos te, où dé– j à notre j e unesse chante à n0uveau les vieux airs du terroir. C'est aussi da ns cette langue que la· parole du Christ se fait souvent entendre dans nos églises e t · nos sanc tuaires.
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