BASA
""' XVI eu. ides l'euod, 8 des l,airn1bert, 5 des Sochet, 3 des FenoH! Ali.Jy, des Chenal, des Dumarché,, des Horney, des D'Oyta. Dans cette statistique nous retirouvons une pa– tronymie assez curieuse. Actue11ement iI n'y a plus à St-Pierre qu'un seul lllOtaire, M.. Octave Bochet, qui préfère les charmes geor– giques et l·es labeurs chers à Cérès aux occupations ari– des cit.s tabeilions, M. Lale se demande ipqurquoi les fa~ 1:rn 1 1es où, le notariat était une profession traditionnelle, ne pro rt \1i ~ent p&us de ces ·sortes de profession~stes p01H<ant si honorables, si nécessaires à la Société et as– sez avantageusement rétribués . Du Chapitre des Notai– res, le rapporteurr ipa1sse au Chapitre des Instituteurs et dt!s Îil;:,tltutiices,, dont Saint-Pierre a été une vraie pépi– mère. Il en dresse la liste par c.rdre al1Phabétique. La famillie Arnod Joseph a donné Ies deux aînées 3Ll Oouvent de S. Joseph. Arnod CY1Prien, frère de J~ seiph, à sa ifil ,e Mlauriciine aussi instiftutrice : eUe ensei– gne d.ans son pays natal. De la lettre A, M. Lale arrive jusqu'à la lettre T, initiale de Thomasset Elise, en fournissant des notices sur chaque instituteur et insti– wtrice. lvi. le Chan. Bréau Joseph_nous donne les pr6mices de 'la monographie qu'il va livrer à la presse sur ie Sanctuaire de Mtachaby. Ce sont des pages écrites en un bel italien, en un style plantureux, bien étc'#é. :;ous relevons du Chapitre qu'il nous a lu que ce Sanctuaire a, d'après la tradition,, une origine surnatu– refü. - corrnme du r.este la plupart des Sanctuaires. De te,nps immémoria1, des bergers avaient trouvé sur la crête d\111 rocher, une statue de la T. S. Vierge, aban– donn:ée dans des ibroussaiUes. Ils s'em1pressèrent de la J...'Orter dans un oratoire situé sur le petit plateau que do1111ne le rocheux escarpement . Le lendemain, on cons– tata avec stupeur, la disparition de Iia statue, qui avait
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