BASA

,..,., xvm - 1· 0us au~iœs voulu entendre d'autres chapitres de cet iutéressanl travail. mais .l'ordre du jour portant aussi tme Çcissertation sur la langue des Salasses, il fallut y renoncer. LE. Secrétaire soussigné, ilVIaxime Durand,, revient snr 1la langue .parlée par les premiers habitants connus de la Va,l1lée d'Aoste et à cet effet il. démontra que tout nous foi~ r·r&::;'1mer 0ue ce deva:1t êtr.e .Ja 1larngue celtique. Du reste des savants ont prouvé affi!Plement que le cel– tiqu(; fut I:a langue primitive et universelle de l'Europe, qu'il s'y introduisit avant ile :gea;main et le slave, qu'il s'y ré;;.andit du nord au midi. Des médailles et des mon– naies ::;alüss<.:s en Vallée d 'Aoste1 à St-Ma:r;tiu de Cor· 11'.>ans .• aœusenL une civilisation phénicienne. Jusqu'ici on a toujours aff.in.né que les Salasses à l'instair des Gau~ loü:,, C:cs Tamisc1ens, des Ombres e.tc ., appartenaient à 1a gr.:mdc famille Celtique. I'-1. le Prof. Jules Brocherel n'est !Pas de cet avis: il soutient que les .Salasses sont de race ligurienne. Nous attemions qu'il nous apporrte les preuves. Des c;uvrages 2 s5e.i: récents et de grande autorité attribuent à cette peuviade une origine celto-liigure. Séance du 2 Janvier 1941 l\I. le Chan. L~vêque , Prieur de la Collégiale., com- 1nf.u11.;;:e avec sa maîtrise hahituetl.le' , :Mgr le vice-P.rési– c1,eut .Emmanuel Gal, que la mort vielli1: de nous ravk, abrs que rien ne nous .faisait pressentir ses approches. I,a robusticité de Sbn tempérament jointe à la jqvialité de son caradère nous autor~it à espérer., malgré ses 75 ans, que cette verte vieillesse défierait encore pen– cla:;t des années les envahissements pr01o01essifs du trépas. E111 perdant un membre qui occupait une place si dis– ti111<uée dans son sein, notre .AJcadémie a fait une perte

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=