BASA

= XLV W• des Ciantons de Genève et Frilbourg. Notre Académîe y fut rirésen:te e t apporta sou contingient de travaux , de rE"l<1:tio11s et de .discours. Depnis les deux grandes guen es et, notamment du– rant ces trois dernières ann:ées, un marasme fit -languir l'activité cfa notre Société, mais elle continua à donnler et1core quelques signes de vie !Par l'élaboration de plu– ~ ieurs 1Vié1110ires et par 1a publ'icahon de cinq Bulletins. Elle réussit à déj ouer ·les sourdes machmations qu'on ounlissait contre elle. Avec l·e tact. l'à-propos, ila culture qui le distinr guent, Mgr l:'É;vêque remercie /Mgr le Président, les per– so11:na iités, les membres présents, des témoignages de kur joie et de leur vénération . Il eut fies parnl1es de •1 )rofoncle adm iration pour les figures de .première: gran– c10nr qui illustrèrent notre Aca<lém[e aussi bien, par Je lUmhre de leurs travaux que par l' éc1art de feur science; ii. lui piaît ici cl' él.roquer le SotlVeni,r des Chanoines Fru– taz C't Ferrec qui furcr;.)t ses .professeurs. Il détlare que eu raison de sa 1ongue absence de la Vallée, il n'a pu toujours suivre le mouvement :inteHectuel du pays, r1n 'il a toujours ni!ammoim; compris tout ce qu'il y a de gr2ndeur d•ans ces vies consacré.es à fouiller les arcanes Jn pass~, et à\ en; tirer, avoec lie progrès mora<l et la glorifirn tiou du pays natai, lie:S leçons de l'avenh- . Sans doute , a joute en substance et avec une rare sa1gad.té •Monse~gneur, poul:" les ronds-ide-cuir., pour les adorat.enrs du dieu (IHammon lesquels ne visent qu'aux cho5ec; palpah~es, l'Académie pourra sembtler inutile. Elle est au contraire d'une utilité in;contestable pour ceux qu i s 'élèvent au des»us 'du çtessechiant !égoïsme et (les ambitions .personne1les, q ui comprennent facilement combien les recherches des actes importants de la vie

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