BASA

plus éminents de la :tradition phiilosophique ohré- ti enne. L 'autori,té diocésaine lui té moigna en outre sa confiance en le chargea1nt à deux reprises de la di– recti'on du G rand-Sémi'nail'.'e et rplus tard encore, du Supériorat. Dans cette doubJe et délicate. Mission dont la capita ie imporitance n ·.échappe à_ rpersonne; à l'exemple de son vénérable Supérieur, Anselme Mar– guerett1a;z - qui nous apparaiit constamment, à travers son inoubliable souvenir, nimbé de la g1oire d'un s.aint - i'l démontra b:eaucouip de bonté et d'i'ntérêt pour 'les séuwinaristes, gagnant ainsi leur confiance e't f.vl' :i!Jlant en eux des sentiments d'une reS1pectueuse et fifü-.le affection que le temps n'a pas réussi à étein– dre. Et !:a ba nté suppose tout un ensembJe de qualités n::-écieuses eit on ne saurait faire un éloge plus flatteur de q uelqu'un qu'en disant de lui qu'il est bon. Un ta·lent m êm e suipérfour n'est, sans bonté, qu'un soleil rnns clnleur bienfaisante. Le Père Lacordaire, l'in– con1rparr.hle conférenci e- de N. D. auquel on ne sau– ra.!t ·discu1ter .le droit de _dire . son :mot en 'parei1lle ma– tière-, cio nna1t du génie cette définition: << Un grand ta1lent au service d' un grand cœur ))o c· est donc la bonté gui rprime tout. Sii le monde est torturé par de mortelles ango;isses c'est que 1la bonté qui est _ 1· at– mosphère indispensable à la vie des homimes, mtan• -::_iue . D'autres charges vinrent réclamer le dévouement de Mgr Gal qui témoignent de l'estime et de la con– fiance dont il jouissait auprès de ses confrères de la Cathédrale entre autres. A la mort de Mgr Tasso de oieuse mémoire, et de son successeur Mgr Caiabu.'se

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