BASA
douteux., n' 0111t pas fait brêche sur sa mentalité cohé– rente. Fidèle à l'amitié, oui: Voici un épisode. Un ec– clésiastïque de quelques années plus jeune que Mgr Gal, s'étai1t avisé, un jour, de lui donner un conseil dans ses te11mes, donit le sens est le suivant: - Vous devriez éviter le contact de ces confrères, et il en dé– dina~t iles noms. Ces rdations ne ipeuvent que vous n1 iÎre , diminuer J'estime, la consïdéra.t1on <lont vous JOUissez. Entre parenthèse, le grand tort de ces prê– tres réputés dangereux était d'avoir pris au sérieux les immortelles et providentielles Encydiques de S. S. Léon Xlll et en particuilier la « Rerum novarum n, la charite deR ouvriers, et d'avoïr tenté d'en réatliser les paternellles et très opportunes instructions par des œuvres ada,ptées au milieu et rien encore :n' esit venu ·les convaiincre d'erreur. La réponse de Migr Gal qui n'était alors que Vit.aire à la Cat:1hédrale, a été celle de la droiture, du bon sens et d'une fermeté dont on lm sait gré: (( Je nie vo~s, dit-il, aucune raison1 pou:r briser ni même railentir 1mes relations d'amitié avec ces confrères que je sari.s être de bons prêtres n- Mais passons et n' a'1térons pas davantage la séré~ nité qu'exige cet écrit. D'1ai.Ueurs, Mgr Gal sans s'être voué directement aux œuvres slociales créés à cette époque, leur a ce– pemlant toujours témoigné sa sy1mpa~hie, sa bienvei·l– l1ance et même son encouragerrnent. Il a prêté son concours à la fondation de l'Imiprimerie Catholique dont il a été le propriétaire fiduciaire jusqu'à sa trans– formation en Société Anonyme elt, atminïstrateur, jus– qu·on peut dire à sa mort.
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