BASA

!O ACADÉMIE S. ANSELME autorité, la négation de la loi naturelle, de la fa mille chrétien ne et de son développement. L'inanité inconcevable des théories du paradis sur la terre dont le communisme présente seulement ·le mirage aux prolétaires qui travaillent et qui souffrent, combien n'a-t-elle pas de prise sur eux? Et c'est là, dans ce terrain ainsi préparé d'avance pour la moisson révolutionnaire, que le marxisme jette sa semence et se développe. Que sera-ce quand la bête humaine aura brisé les bar· reaux de sa cage ? Mgr Steuenin en finissant inculque la nécessité de l'union pour arrêter dans sa marche la démagogie bestiale et surtout pour que la petite patrie vive et conserve son autonomie. Séance du 3 Ociobre 1949 L'honorable Paul Farinet, M. l'a~t. Caveri, quelques mem– bres du Conseil de la Vallée et un grand nombre de membres de notre Société, ont pris part à cette séance extraordinaire pour ac– cueillir le savant historien savoyard H. Menabreaz ; l'illustre so– ciologue Aldus Dami, privat docent à l'Université de Genève; le célèbre linguiste Otto Hassler, prof titulaire à la même Université; qui ont bien voulu nous faire passer quelques heures de jouissan– ces littéraires et philologiques. Le fauteuil a été tenu par M. le Sénateur avt. Ernest Page, vice-Président de notre Académie, Mgr Boson étant à Turin pour une opération chirurgicale. Je tiens à reproduire textuellement les termes dans lesquels M. le vice-Président a donné la bienuenuP à ces illustres personnages : « MESSIEUR!:,, En l'absence de Mgr Justin Boson, président de l'Aca– démie, actuellement à Turin pour motif de santé, auquel nous envoyons n >S meilleurs vœux de guérison, j'ai le plaisir et l'honneur de donner la bienvenue aux illustres prof. Henri Menabreaz, Aldus Dami et Otto Hassler. Nous les connaissons déjà avantageusement en tant qu'écri-

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