BASA

ACADÉMIE S. ANSELME Les variantes du prolog-ue monarchien de notre Evangéliaire ne sont pas très nombreuses pour les Evangiles de S. Mathieu, de S. Marc e t S. Jea n. La plupart n'altèrent pas le se ns du texte receptus. L e lecteur patient pourra lui-même s'en pe rsuader. Tou– tefois le copiste de notre ms. a certainement lu et copié bien mal, dans Marc, au lieu de secundum carnem lev i"tam = secundun carnalem vitam e t dans Jean au lieu de in Genesi = ingressi. Pour S. Jean notre auteur a omis, à deux reprises, trois à quatre lignes. Le prologue à S. Luc es t e n g rand e partie dif– férent. Les spécialistes de critique textuelle, tout e n devant donner la préférence au te.xtus recep~us, ver– ront peut-être avec plaisir ces é tranges différences. J. BosoN.

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