BASA

ACADÉMIE SAINT ANSEÜi:E < ê tre in civiq ues da ns la circonsta nce si e ll es n'é– < taie nt pas confi ées à la prudence d'un homme, < dont l' amour pour la vérité égale le pa trio ti sme < e t si e lles ne condui saie nf pas à la r éflexio n qu ' un < pays, qui a joui depuis d e s siècles , d ' un e di g nité < e t d'un e sple nde ur a u dessus de toutes les a utr es < provinces, qui, dans les années mêmes de sa li– < berté é teinte , a j oui de l'é tablisseme nt des tribu– < naux les plus intér essa nt s pour son bonheur , si, " da ns le temps de sa régé né ra ti on, il ne forma it " pas un D épa rteme nt e t dé pe ndit du che f-lieu d'un e < province é tra ngèr e, il tomberait dan s le derni e r < degré de misèn~ e t d'h ~ mili ation, e t le s beaux édi– < fices publi cs, élevés da ns le temps de g loire du < pays, sur les deux pl a ces de St. Fra nçois e t Ra n– < ca s, tels q ue les autres provinces n' e n possède nt < pas pe ut -ê tre de plus vastes pour log e r tout es les " a uthorités dé pa rt ementales, devenu s dése rts , ne < se raient p lu s qu ' un monume nt dont la vue impor– < tun e au pub li c lu y rappe lle ra it sa ns cesse la g ra n– < <l eur de sa chut e » . 17. - Faiblesse des États Généraux face aux prétentions royales En lisant les d élibéra tions des Trois Éta ts, de l'an 17 30 à l' a n 1766 , o n est pé nibl eme nt impres– sionné. T a ndi s qu' à Turin le roi et ses mini stres travaillaient sa ns r elâche à démolir l' or g ani sation

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