BASA
ACADEMIE SAINT ANSÉLME Le journalisme des temps passés compte de vaillantes plumes: Clément Gérard, Orsières, Fran– çois Farinet, Antoine Farinet, les avocats Venance Défey, Joseph Torrione, Léonard Duc, Chevalier, César Chabloz, Julien Charrey, Octave Galeazzo, Favre, le doct. Charles Marguerettaz, les chanoines Édouard Bérard, Ferdinand Fenoil, Gabriel Frutaz, P. Béthaz, J. Lale-Démoz, Pierre Sarteur, le prof. Benjamin Christillin, les abbés Léon Manzetti , An – toine Maquignaz, Louis Lucat, plus tard les chan. Stevenin, Lévêque, le doct. Réan, l'abbé Pierre Gorret, journaliste enjoué, bien taillé, et qui ne de– vrait pas laisser rouiller sa plume, vu qu'il n'est pas encore au déclin de la parabole. Je ne reviens pas sur nos poètes de tout pre– mier ordre: Clément Gérard pour la chanson, An– selme Perret, Césarine Pezzia, Marius Léon Man– zetii, Sœur Scholastique, Joseph Perron, etc, dont j'ai déjà parlé dans une autre assez longue disser– tation. La chaire chrétienne a été illustrée, après les P. Ducly, les P. Laurent, les Artaz, les Porliod, les Lucat, les Valentin Bal, les Justin Crétaz, les P. Béthaz, Favre, tous orateurs très connus qui auraient resplendi d'un vif éclat sur les plus célèbres tribunes de la France, aussi par François Beuchod, humaniste et helléniste distingué et prédicateur à l'éloquence solennelle et fonci~rement cl assique. Plus tard, un brillant orate11r - Séraphin Vuil– lermin - doct eur en belles lettres et philosophie,
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