BASA

4 AcAni\:Mrn SAINT ANSELMË France était malade d'intoxication et avec elle d' au– tres encore.... Il fallait une rude opération pour les rétablir. Dieu se servit, à cet effet, de Napoléon Bona– parte pour l'exécution. 11 fut l'instrument de la pro– vidence. Tout à coup un jeune artilleur silencieux pre nd Toulon , puis l'Italie? puis la Fra nce , puis l'Europe. Il fut la verge de Dieu, à travers le monde empoisonné de Voltairianisme et des doctrines per– verses de Jean Jacques Rousseau et sa g loire, la meilleure, c'est d'avoir muselé l'hydre de la révolu – tion, rouvert les églises au culte catholique et cou– ronné sa vie par une mort chrétienne. Aussi bien, notre plus g rand poète après le Dante a pu s'écrier: Bella, immortal, benefica, Fede ai frionfi avvezza Scrisse ancor questo, allegrafi, Clu più superba al!ezza Al disonor del Golgola Giammai non si clzino. Tu dalle sfanclte ceneri Sperdi ogni ria parola. Il Dio che atterra e suscita, Che ajjanna, che consola, Sulla deserla col!rice A canto a lui poso. MANZONI. On s'étonne que Napoléon, au milieu des camps et des bataillles, de ses longues g uerres, de ce

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=