BASA
ACADÉM IE SAINT ANSEL!llE 1 t cats et surnaturels du Prélat, ses actes charitables et toujours son amour pour la science historique et pour la patrie valdôtaine. Les réponses de Sa Majesté La reine Marguerite écrit en français. La lan– g ue française lui est aussi familière que l'italienne. Par sa correspondance en français S. M. légitime le bilinguisme des valdôtains. De la correspondance de cette âme d'élite qui fut la reine Marguerite de Sa– voie tout est à reproduire et c'est ce qui est fait dans les pages suivantes. Dans cette introduction on se contente de si – gnaler les passages les plus intéressants. Les evene– ments généraux ne pouvaient ne pas intéresser la Souveraine. Elle n'exprime pas sa pensée sur la guerre d'Afrique de I 896 mais sa compassion pour les soldats morts ou retenus prisonni ers par le Ne– ghus s'exprime dans un acte de charité, distribution de subsides aux familles des infortunés. L'évêque es t lui-même chargé de la répartition des I 700 lires concédées. Le mariage du fils prince de Naples avec Hé– lène de Montenegro en I 896 inspire son amour de mère. Et elle veut faire savoir à l'évêque, auquel elle a une grande confiance, comment et devant qui se fera l'abjuration de la princesse Hélène, J'épouse de son fils Victor Emmanuel. En I 898 la révolution de Milan la consterne avec raison. S. M. s'exprime avec des réflexions ins-
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