BASA

ACADÉMIE SAINT ANSELl\fE riage de S. A. R. le Princ.~ de Naples. Je me trompe: ils ojfrPnt les vœux de leurs cœurs et, en échange, plusieurs d'entre eux re– çoivent de LL. MM. une généreuse et g racieuse subvm.tion commP. efficace de crm solation dans leurs malheurs, nouveau lien d'atta· chP. ment à la dynastie de Savoie, enfin commt stimulant actif â servir toujours fidèlement le Roi et la Patrie. Que V. M., tout en acceptant l'hommage pro.fond de g rati– tude des Valdôtains si largement secourus par leur biPn·aimée SouverainP., dont j e me rends l'interprète, daigne agréer l'expres– sion sincère de ma reconnaissance pour l'honneur qu'e/lP. m'a fait de me choisir pour l'instrument de ses libéra. Lités. Monza, 14 octobre 1896. Monseigneur, Je vous r emer cie de vos aimables lettres du 28 s ep– t embre et du 12 oct obre et de la pe in e ~ue vous vous êtes donnée pour r echerch er les familles des soldats d'Afrique e t pour la pein e que vous vous donnez maintenant p our les secours à distribuer. L e Roi m 'a chargé de ses remer – ciements que j'unis aux mi ens. Nous sommes si heureux de pouvoir faire qu e lque ch ose pour s ou lever un peu ces hrav es gens dont les fils ont si vaillamment servi le Roi et la Patrie, et si glo– ri eu sement soutenu l' hon neu r de la bonne et fidèle V a ll ée d'Aoste en montran t comment des e nfants savent touj ours , comme dans les siècles passés, combattre et mourir p our leur devoir et la gl oire de leur pays. Je pen se avec tant d e plaisir que ces secours distribués par vous, Monsei– gneur, qui êtes un si bon pasteur pour vos brebis, seront une doubl e consolation pour eux! Nous nous préparons à aller à Rome pour le mariage de notre fils ; je dois dire que je resse ns un e certaine émotion ; t ous les ma ri ages, surtout puis ceux des per· s on nes qui , comme mon fils, occupent une position élevée

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