BASA

4 0 ACADÉMIE SAINT ANSELME si dévoué, selon votre exempl e, Monseign eur , à notre fa– mille. Vous savez que j'ai les mêmes sentiments et je suis heureuse de vous les répéter de t out mon cœur, et en me recommanda nt et recommandant la mémoire du Roi Hum– bert à vos prières, je me dis, Monseigneur , Monseigneur, Votre très aff.née MARGUERITE. Stresa, 18 octobre 1900. Je vous remerci e beaucoup de votre aimable le ttre du 3 et de la promesse que vous me faitPs de prier pour nous, car je suis sûre que vos prières, Monseigneur, se– ront entendues au ciel. J'ai lu la requête de Umberto Omar et je sera i très con tente de pouvoir l'aider pour son éduca tion, mais je voudrais que vous ayez la bonté, Monsei g neur, de me dire ce que je puis faire pour lui. Il écrit que le gouve rnement donne 300 lires à l'année pour lui, apparemment il désire que je complète la somme voulue pour l'élever, mais de combien est-elle? Vous seriez bien aimable, Monseigneur, en me l' écri– vant, car ainsi je saurai ce que je puis faire pour mon filleul. Je suis 1c1 au Lac Majeur, chez ma nièce, e t lu11di j'irai à Stupinigi près de Turin où je restera i jusqu 'à mon retour à Rome vers la fin de novembre. Je pense si souvent à mes chères montagnes de la Vallée d'Aoste et de Gressoney, que le pa uvre R oi Hum– bert aimait, comme il aimait tout aussi ce bon peuple valdôtain. Je me recommande encore à vos prières, Monseigneur, et avec les s en timents de la plus sincère vénérati on je me dis bien de cœur Votre très aff.née MARGUERITE,

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