BASA

Académie Safnt Ânselme rado, à y attirer l'aristocratie, les riches bourgeois, à y apporter le bien-être. Il aurait même voulu y faire coüler k Pactole. Parmi ces ouvrages, il convient de citer : 1) «La Guida illustrata di Courmayeur » : 2) .. 1 Castelli Valdo– stani » ; 3) Deux. vol. de «La Valle di Aosta » ; 4) « L'arte popolare in Valle di Aosta »; 5) «Récits et croquis Valdô– tains » ; · 6) « Le Patois et la Langue française en Vallée d'Aoste"· Au surplus, il a publié dans l' «Augusta Prae– toria1 », magazine, revue très élégante, en papier glaèé, d'une haute tenue littéraire et scientifique, des disserta– tJons au non plus intéressantes, savantes et profondes, sur no\re histoire, sur notre littérature, sur l'industrie hô– telière, touristique, forestière en Vallée d'Aoste, sur l'o– rigine des Salasses, sur le français en Vallée d'Aoste sur le diptyque, romain d'Aoste, sur la glaciologie, sur nos forces hydrauliques, sur l'art rustique, sur la géologie, la toponymie valdôtaine, sur l'ampélographie, etc., et no– tamment des articles de critiques littéraires et scientifi· ques. Pour signaler les beautés naturelles de notre pays, il collabora avec un éclatant succès à un grand nombre de revues étrangères et italiennes, surtout à la « Guida del Touring·Club Italiano », aux revues «Journal des Voya– ges.», «A travers le monde», «Tour du Monde», «Le Globe Trotter», «Le Monde Moderne•, enfin au • Maga– zine écossais géographique •. Il est indéniable que M. Brocherel, et M. Berthet sera du même avis -, fut un publiciste, un polygraphe d'une grande valeur et d'un incontestable mérite, surtout si l'on pense qu'il fut par excellence le fils de ses oeu– vres, qu'il s'acquit de lui - mêm8 de vastes connaissan– ces littéraires et scientifiques, sans avoir fréquenté les Cours Supérieur~. Tant il est vrai que ce ne sont pas tau-

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