BASA

Discours de M. le Chan. Ratel sur le patois de la Maurienne C'est mon d evoir, Monsieur , le Président de 1'Académie de St. Anselme, de vous adresser le merci le plus profondément sincère pour m'a– v oir invité à venir prendre part à Aoste aux ±êtes de ce Centenaire. ·Ce merci, il faudrait vous le présenter en formules choisies; mais j'ai le malheur de parler le troisième: les for– mules les plus heureuses ont déjà été trouvées et prononcées; il ne me reste qu'à vous dire un merci froid dans la forme, mais réchauffé non .seulement par la température ambiante et par ~< la c h a 1 e u r communicative des banquets » , mais et surtout par la chaleur de ma reconnais– .sance et la chaleur de l'amitié valdostano-sa– voiarde. Cependant, Monsieur le Président, vous a– vez dû mettre une pointe de malice dans vos a imables invitations: vous nous dites de parler

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