BASA

100 A. ZANOTTO traces du Congrès historique d 'Aoste, de la méthodo– logie moderne, de maîtres émin ents , doit nous rendre la considération dont nous jouissions il y a cinquante ans aux yeux des érudits étrangers. Ecoutons les suggestions de M. Cognasso: << ••• Oc- corre perciô strappare i veli di l eggende e di giudizi, o meglio di pregiudizi e rifare la storia della Valle su nuove basi, strettamente scientifiche; ricercare le ori– gini; precisare Io sviluppo delle su e istituzioni , scru– tare le attività del suo popolo nelle varie età, in tutte le sue manifestazioni , si da giungere ad una giusta com– prensione degli sforzi compiuti per vivere, si da po– terci rallegrare che la vita della ValJ e sia cosi piena di tradizioni del pa ssato , cosi desiderosa di progredire senza nuJla abbandonare di questo passato , ma conser– vandolo fieramente per essere degna degli avi )) . Ajoutons que ! 'histoire de la Vallée d'Aoste doit être conçue comme histoire d'une culture particulière (civilisation et non pa s, donc, littérature). Il faut re– chercher le complexe des particularités d'ordre ethnogra– phique , géographique, juridique, historique et linguis– tique qui caractérisent si bien notre r égion. * * * Nous devons avant tout éditer avec de bonnes pré– sentations critiques les sources •de notre histoire: Vaudan, Mochet, Viot, Genand, Monterin , etc., et tous les ouvrages de Tillier qui demeurent inconnus mê – me aux érudits. Cette besogne devr ait être confiée à une équipe d'érudits locaux ou à une commission. On devrait aussi publier les monographies de nos paroisses qui de– meurent encore inédites (Verrayes par le chan. Vescoz, Donnas et Saint-Remy par l e prieur Marguerettaz , Saint– Pierre par le chan. Lâle-Démoz) en les ajournant et

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