BASA
30 A. Zanotto a sacrtstla Sancti Ursi unam peciam prau iacentem ad Meysata. Cuius fines sunt de prima parte via publica de omnibus aliis partibus res dicti Brunerii quae movent a confratria Sancti Ursi pro qua re dictus Brunerius facit duos solidos de censu annuatim solvendos in festo beati Michaelis XII denarios servicii annuatim in eodem festo solvendos et II solidos placiti quando acci– derit ... » Archives de la Collégiale Saint-Ours, Chartularium S. Ursi cit ., n. 603. AOSTE ( Porossan ). 1286 - Vente de Jean de Saint-Oyen à l'hôpital de Saint-Ours : « Fines sunt ... de Ilda res confratrie de Porroczano .. . ». Archives de la Collégiale Saint-Ours, Chartularium S. Ursi cit., n. 89. 1316 - Donation d'Albin de Doues à la maison de Saint-Ours: « Fines ... de III res confratrie de Porroczan ... » Archives de la Collégiale Saint-Ours, Chartularium S. Ursi cit., n. 153. 1316 - « Aymo filius Vuillielmi de Chablo venditionem facit in domum Sancti Ursi ... unam peciam terre que jacet ad Porroczan. Fines: de prima parte res confratrie .. . ». Archives de la Collégiale Saint-Ours, Chartularium S. Ursi, cit., n. 154 bis. 1316 - «Johannes de Chablo donacionem facit in domum Sancti Ursi et in servitores eius duas pecias terre et prati que iacent ad Porroczan loco dicta Rember ... Fines pecie terre sunt ... de secunda et de tercia res confratrie ... ». Archives de la Collégiale Saint-Ours, Chartularium S. Ursi cit., n. 155. 1321 - Cf. supra, Aoste (Saint-Ours) . 1769 - « ... Mgr de Sales applique pour la fondation d'une école sur pied fixe les biens et les domiciles de la confrérie du Saint-Esprit.» J . ÎRÈVES, op. cit., p. 24. ARVIER. 1342 - «A Arvier cette confrérie [du Saint-Esprit] existait dès 1342 et elle s'est maintenue jusque vers 1860, où une administration défectueuse lui a donné le coup de mort». A. Roux, La paroisse d'Arvier. Son église - ses chapelles - ses curés, par un enfant du pays, Aoste 1910, p. 23. 1506 - « En 1506, le noble seigneur Thadée d'Avise avait donné un do– micile près de l'église pour les réfectoires de la confrérie du Saint-Esprit. Dans la suite des temps, il a servi de maison communale et, dans ce but, il a été élevé (1866) d'un étage consistant en une grande salle pour les assemblées extra– ordinaires. » Ibidem, p. 23. 1786 - D'après le témoignage du curé Chenevier (1755-1788 ): «Les chefs de la paroisse d'Arvier, ayant formé entre eux une société qu'on a appellé, dès le commencement, confrérie du Saint-Esprit, ont été tous d'un consentement unanime de fournir chacun une quartaine de blé et une quartaine de vin. De quoi l'on donnerait, toutes les fêtes de Pentecôte, la charité aux pauvres et un repas à deux personnes de chaque famille de la paroisse et à ceux qui
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=