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Correspondance Gal-Promis 131 que je crois avoir été une tablette votive, trouvé dans ces fouilles,· pourriez-vous substituer au moins quelques-uns des mots qui manquent à l'inscription, et m'indiquer d'après la forme des lettres, à quel siècle elle peut-être assignée ? vous me feriez bien plaisir. Ferez-vous de nouvelles excursions archéologiques pour compléter votre important ouvrage sur les monumens ro– mains, et quand à peu-près? Pardonnez-moi cette curiosité, qui n'est pas sans intérêt. Lorsque vous fûtes à Aoste, avez– vous vu une voûte romaine qui paraît donner entrée à un souterrain dans le jardin de M. V agneur protomédecin mort l'année dernière ? Mes profonds respects, s'il vous plaît, à Monsieur vo– tre frère le Chevalier, à sa Dame et à la demoiselle Gabrielle. Tout à vous Gal C. Aoste, le 26 mars 1845 . P. 5. - Les prêtres Augustaux n'avaient-ils pas le privi– lège d'être inhumés dans leurs temples ? En brû– lait-on habituellement les cadavres ? [Scat. 12/XI/9.] Monsieur Charles Promis Professeur d' Architecture Civile à l'Université Royale, Inspecteur des Antiquités de S. M. Sarde à Turin. Aoste, le 10 mai 1845 Monsieur et cher amz, Je vous remercie bien de votre réponse du 12 avril dernier; je pense, comme vous, actuellement, que le frag-