BASA
Correspondance Gal-Promis 69 soit encastrée dans le mur sud-est de la caserne des Carabi– niers, et dont Monsieur votre frère copia l'inscription de la compagnie de Monsieur Cornaglia. Monseigneur l'évêque d'Aoste et Monsieur le Gou– verneur aux quels je fis mon rapport, m'ont dit qu'ils fe– raient faire des fouilles dans cette chapelle, où je crois qu'il y eut des Sévirs Augustaux. Voilà, Monsieur le Chevalier, une matière quelconque de conversation pendant le déssert d'un dîné que vous man– gerez à votre nouvelle campagne surnommée gentillement Les Capucins ... Il y a quelques jours que je n'ai pas eu le plaisir de voir Madame Favre,· mais la dernière fois que je fus chez elle, elle se portait bien, ainsi que sa Demoi– selle et Vénérand. Toutes les fois que nous nous voyons, notre conversation principale roule sur la bien chère famil– le Promis. Ne viendrez-vous pas cette année passer quelques jours à Aoste ? Mais j'abuse de votre patience, et je finis en vous priant de me permettre d'offrir l'hommage de mon profond respect à Madame votre très-estimable épouse, au travailleur infatigable votre frère, et à l'excellente demoi– selle Gabrielle que je n'oublierai jamais. Agréez, s'il vous plaît, le bien profond respect de mon frère, et en tout le mien accompagné de la plus vive reconnaissance avec la quelle j'ai l'honneur d'être, Monsieur le Chevalier, Votre très humble et obligé Serviteur Gal Aoste, le 6 juin 1844. [Scat. 6/VI/43] (Sans adresse) Monsieur le Chevalier, Je vous suis fort obligé, Monsieur le Chevalier, de l'obligeance que vous avez de me faire parvenir par le ca– nal de mon frère, la Chronique célèbre de Novalèse, éditée et illustrée par le docte Monsieur l'avocat Bethmann. J' au-
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