BASA

288 Colloque d'archéologie Per la Svizzera romanda: M. Jean-Charles Biaudet, Lausanne M. André Donnet, Sion Per la Francia (Grenoble): M. Bernard Bligny M. Bernard Janin Pour la Savoie: M. l'abbé Marius Hudry M. Clément Gardet Pour la Vallée d'Aoste: M. Hector Passerin D 'Entrèves M. le prof. Aimé Berthet. L'adresse du Comité était: chez l'Assessorat régional à !'Instruction Publique. Io penso quindi che nulla osti in questa particolare situazione di fatto in cui ci troviamo, per questa conferenza che attiene principal– mente al campo archeologico, di vedere subito la creazione di questa Sezione, o l'allargamento diciamo di membri o di una parte di questo Segretariato che s'interessi in modo particolare del problema archeolo– gico. Ma, ripeto, bisogna vederlo già configurato, proprio corne punto di unione, di legame fra le varie Società culturali. Je pense que nos amis Français et Suisses ont compris ce que j'ai dit en italien: se relier nouvellement à ce qui a été fait l'année dernière avec la création du Comité d'action des représentants de la Suisse ro– mande, de la Savoie, du Piémont et de la Vallée d'Aoste . Ce Secré– tariat, chez l'Assessorat à !'Instruction Publique, maintenant peut créer une autre Section toute dédiée à l'archéologie. Mais il y a déjà quelque chose pour continuer ce travail. Je tiens à dire ces propositions, pour qu'il soit clair que c'est une continuation. Et la vallée d'Aoste est dis– posée en ce sens à mettre à disposition ce que la Junte et !'Adminis– tration pourront faire dans ce domaine. (Applaudissements). MGR FRUTAZ, président: Si vous permettez, M. Benzo, je désire vous fournir une donnée precise sur ce Comité d'action. D'abord notre Colloque est essentielle– ment un Colloque archéologique, et ce petit Comité que nous voudrions créer, est un Comité de liaison au point de vue purement archéologi– que. Que le Secrétariat, qui est un Secrétariat général, s'occupe aussi de nous, c'est parfait, mais il est inutile que nous soumettions - avec tout le respect que j'ai pour lui - au prof. Alexandre d'Entrèves une question archéologique. Il n'est pas archéologue. Il est inutile que je