BASA

228 A. Donnet la charpente de l'agrandissement du couvent 8 • Fait en mème temps accepter par M. Addy mon frère Charles en remplacement de son frère. L'hiver, allé en classe avec l'ex-maire Chapelet jusqu'au prin– temps suivant 9 • 1825 Bùcheron en Savoie (Sixt) 10 et en automne à Monthey et flottages. L'hiver régent aux Marécottes jusqu'au printemps suivant. 1826 Cultivateur à la cité d'Aoste avec mes parents. Le 8 septembre, passé le col de Barasson de nuit pour aller au canton de Vaud chercher du remède pour ma bonne mère qui était gravement malade en cette ville. Le 12, passé à Saint-Rhémy les médecines en contrebande dans du pain bis. En octobre, retourné au mème médecin et passé derechef les médecines de la mème manière afin de ne pas payer les exorbi– tants droits d'entrée à la douane. A la Saint-Martin [ 11 novembre], rentré à Salvan pour repren– dre l'école des Marécottes; décembre, fait une grave maladie et soigné par Nicolas Fournier 11 • 1827 Fin d'avril, parti avec Maurice-Joseph Revaz pour aller en France 8 « Entre les années 1821 et 1827 », on exhausse l'hospice d'un étage, « et on refait la façade ouest qui menaçait ruine ». L. QUAGLIA, La Maison du Grand ~aint-Bernard des origines aux temps actue!s, 2' édit., Martigny, 1972, p. 416. 9 Voir plus haut, p. 225, n. 2. Note de l'auteur: «La jalousie des adversaires me fit poursuivre pour trois ou quatre succès à coups de cailloux ». Jean-P•ierre Squinabol est donc retourné à l'école à 21 ans, en vue de se perfectionner, à l'effet d'assumer, comme on va le voir, la charge de régent. 10 Voir plus loin, sous l'année 1827, p. 229. 11 Nicolas Fournier (1745-1830), de La Combaz, guérisseur ou « médecin » selon L. CoQuoz (Histoire..., p. 113 ).

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