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contemple d'une haute sommité, que si on les regarde du fond d'une vallée. Selon moi, les points les plus favorables pour jouir pleinement des grands paysages des montagnes sont ceux dont l'élévation permet d'éprouver l'impression de la profondeur et de la hauteur, et tout en offrant des points de vue étendus et variés, n'abaisse pas tout ce qui l'entoure au niveau du spectateur trop haut placé >>. La vue du Mont Fallère est un exemple excellent, le meilleur peut-etre, de ce modèle accompli de vue panoramique. Pour le Mont Fallère tout en particulier; « Comme point de vue, dit M. Nichols, je préfère ce pie à celui de la Becca de Nona. Il est bien plus facile d'accès à pied depuis Aoste ». C'est de la concision anglaise: passons à un italien. M. Damiano Marinelli, de la Section Alpine de Florence, ascen– sionniste intrépide et intelligent, parle de son ascension au Mont Fallère en 1878, en lui donnant une altitude de 3056 mètres, 20 mètres plus forte que la mesure donnée par l'Etat Major, et il écrit (Bollettino n. 39) ces appréciations auxquelles je souscris pleinement: << A celui (Photo A . Borrionel De nuit tu éclaires, de jour ton ombre norcit l'ancien mur de la prévoté. -133