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l'exploitation, batiments dont l'emplacement doit étre choisi a– vec soin, si possible au centre de l'alpage, afin · d'éviter, avec l'aide des chemins de parcours, cités précédemment, la création de plu– sieurs remues. Dans le Valais, on a tendance actuellement, à préfé– rer les étables transversales aux étables longitudinales, simples ou doubles, et des expériences sont faites pour l'introduction de la stabulation libre, c'est-à-dire du logement des animaux dans des étables où ils ne sont pas atta– chés. Ces refuges sont générale– ment construits directement sur la fosse à purin avec laquelle ils sont en communication par l'intermé– diaire d'un plancher à claire-voie, un caillebotis, qui laisse passer les déjections des animaux; avantage évident pour la propreté du .bé– tail, l'économie de temps et de main-d'oeuvre pour le nettoya– ge de l'étable, le transport du li– sier et sa successivè utilisation pour le purinage des ·pr,és. Dans les alpages où se pratique la stabulation libre, la traite mé– canique est effectuée dans un box séparé, construit en maçonnerie ou, plus économiquement, en tu– bulaires métalliques recouverts d'un toit mobile en matériel plas– tique. Il est évident qu'alors qu'on par– le de batiments se pose le problè– me de l'eau, problème d'impor– tance capitale soit qu'il s'agisse M. Jules-Ange Negri, technicien agraire, nous a parlé des « Techniques fromagères ». -142-