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' . 4:. L~HOMME ET LA MACHINE par R. Cuaz Comme l'homme est mer· veilleux, consldéré dans ses lnventlons, dans son travail de chaque jour, dans la domesticatlon et l'exploitation des outlls dont dépendent et son blen-6tre et le progrès. Mais encore, cet homme, soumls à un automatisme qui en fait une machlne dans la machine, contralnt à un rendement dont une autre machlne calcule l'ef– ficience en tonnes et ca– lorles, peut-11 pensar en– core et à quol ? LA CIORIOMONIE DE MARIAGE EN VALLIOE D'AOSTE AU XV' SJI:CLE par R. Amiet Des mllllers et des milliers de couples de rudes mon– tagnards valdotains, des– cendants des anciens Sa- UN UMOIGNAGE AUTHENTIQUE JNIODJT ET CONTEMPORAIN SUR LE PASSAGE DE NAPOLIOON EN VALLIOE D'AOSTE par L. Colllard La narratlon de Pantaléon Bich, de Chatillon, plon– nier de l'Industrie métal– lurglque en Vallée d'Aos– ta, concorde pleinement a– vec les données que nous ont fournies des différents hlstoriens du passé. Ce qui caractérise cependant le récit de l'auteur ce sont nombre de détails inédits, curieux et mème amu– sants. lasses et des robustes Ro– mains qui les avaient sou– mis, sont venus, pendant tout le Medio evo deman– dar à leurs curés respec– tifs de bénir leur union, et lls ont vu de leurs yeux tout au long des années de leur vie, pour leurs ainés, d'abord, puis pour eux-mè· mes, pour leurs familles 2t leurs amis, et enfin pour leurs enfants et souvent pour leurs petits-enfants, se déployer à chaque ma– riage toute la richesse chrét~nne et toute la poé– sie spirituelle de la magni· fique liturgie nuptiale en usage dans leur chère val– lée. Il est absolument hors de doute que ces cérémonies, bien comprises et conve– nablement solennisées, ont été infiniment capa– bles de forger des men– talités et d'insuffler à ceux qui les vivaient toute une philosophie de la vie et de l'amour.