Flambeau - Le

Groupe de cordonniers sousla bannière de la Società di Beneficenza Calzolai d'Aoste (Brel}. Le nombre des années d'apprentissage fixé par ces deux conven– tions n'est certainement pas une règle fixe. S'agissant de rapports entre personnes privées, c'est aux deux parties en cause qui reve– nait le droit d'établir la durée de la formation. Celle-ci, d'ailleurs, n'était surement pas finalisée à décerner un dipl6me ayant valeur légale, mais uniquement à faurnir à l'apprenti taute la technique du métier et la pratique nécessaire à san exercice. On s'adaptait dane aux besains et à la dispanibilité des parties, aux intérets réci– praques, aux cauts d'hébergement et d'enseignement, aux capaci– tés plus au mains pramptes d'initiatian aux secrets du métier de la part de l'élève. Ainsi les temps d'apprentissage étaient extreme– ment variables12. 12 Les huit conventions étudiées par le professeur Zanolli confirment cela : à Lillianes, aux XVIIeet XVIIIesiècles, la durée de la formation variait entre huit mais et cinq ans (O. ZANOLU, L'apprentissage et l'exercice..., ci t., p. 395-398). 35

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