23 Le Flambeau - 09

Le vii/age de Planava/ . En amont. le village est protégé par un bois noir. En face, au-delà de la route régionale, sur le versant de l'envers, il y a la masse verdoyante des bois de Les Cretes, de la Bouasse et de la consorterie de Borègne. D'ailleurs, la beauté des lieux n'est pas une nouveauté ; Louis Vescoz3 écrivait, en 1870, que « le village de ce nom mérite un coup d'~il. Coquettement assis au sei n d'un riant plateau, arrosé de mille ruisseaux qui descendent en cascades des glaciers (. ..) ce village présente au mois dejuin et dejuillet un spectacle aussi charmant que rare. Les eaux et le climat y sont doux » L'abbé Vescoz fait aussi état, à cette époque, d'une activité artisana– le bien établie à Planava l, concernant le blanchissage des toiles, «ce qui 3 LOUIS VESCOZ, Géagraphie, cit., p. 270. 125

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