Historique du Pays d'Aoste

))ar Jean: Martin· F4lix Ôrsi�!'es Notes relatives à la Seconde Epoque. XXX Le niot Ivrée, en iatin Eporedia, dérive selon Pli­ ne du gaulois Eporedicas, qui signifie dompteurs de chevaux. XXX (bis) Les confins du Pays des Centrons étaient : au le­ vant, la sommité des Alpes Grecques ; et au couchant, la rivière d'Arly, près de l'l:lôpital (aujourd'hui Albert­ ville). Des Alpes Grecques à Arly, il y aurait quaran­ te-six milles romains anciens, d'après une table dres- · sée sous l'un des Antonins, vers l'an 150 de l'ère chré­ tienne (Roche). XXXI Les Frères de S.te -Marthe ont tort de dériver ce . nom du mot Ostium, ut ultimus ltalire terminus. Augus­ te dona son - nom à la Cité d'Aoste, comme Térentius Varron, son général, le donna à la Tarentaise. XXXII Les peuples de la Gaule Cisalpine, à l'instigation de César, demandèrent à être reçus au nombre des citoyens romains, et l'obtinrent peu de · temps après par concession des Triumvirs. Au temps d'Auguste, toute la Péninsule Italique .ne comptait que des ci· toyens romains (Charles Botta). XXXIII Du temps des Romains la partie occidentale . de la Savoie fesait partie de la Gaule Viennoise, et l'orien-

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