La correspondance d'Albert Bailly Volume III Année 1651 publiée sous la direction de Gianni Mombello

32 Correspondance d'A. Bailly - 1651 ont été retenues et transcrites dans la fiche de présentation placée en tête de chaque lettre. Chaque dossier a reçu par les archivistes turinois un numéro (de 1 à 47) écrit au crayon dans la marge supérieure de la première page. Souvent ce numéro est suivi par un chiffre indiquant le nombre de feuillets. Parfois les archivistes ont procédé à la numérotation des feuillets. Quant à l' aspect des documents, ils ont été écrits sur papier filigrané (les filigranes n' étant pas homogènes). Les dimensions sont très variées, soit à cause des types de pliages différents, soit à cause des diverses dimensions des feuilles d'origine. Il s'agit généralement de bifeuillets, parfois encartés, ou plus rarement d'un feuillet non plié. Le support est le plus souvent en bon état de conservation, la couleur de l' encre reste vive. Les lettres ne présentent donc pas de problèmes paléographiques particuliers, d' autant plus que la graphie de Bailly est généralement claire; seuls quelques passages censurés, recouverts par une couche d' encre noir, posent quelques difficultés de lecture. Les dossiers renferment également vingt lettres d' autres mains, écrites par le baron de Sainte Frique, par l' ambassadeur de Savoie Aglié, par Geoffroy de Laigue, par Madame Masurier, par Madame de Chavigny et par d' autres personnages dont le nom est inconnu. Elles furent envoyées par le même Bailly à la cour de Savoie avec sa correspondance afin que la duchesse en prenne connaissance. Nous les avons isolées et reproduites dans une section à part (Cf. Appendice). Elles ont été groupées selon leur auteur. Chacun d'entre eux a été identifié par une lettre de l' alphabet (de A à K) et ses lettres ont été ordonnées chronologiquement (Cf. Tableaux synoptiques). 2. Classement et présentation des documents La correspondance de 1 65 1 se présentant sous forme de dossiers, nous avons dû affronter quelques difficultés pour numéroter les différents documents. En effet les pièces constituant le dossier ne pouvaient pas être séparées les une des autres (souvent la lettre et la gazette sont écrites sur le même bifeuillet) et donc, contrairement au classement suivi pour les lettres des années précédentes, il était impossible de donner un numéro différent à