La correspondance d'Albert Bailly Volume III Année 1651 publiée sous la direction de Gianni Mombello
Lettre C/2 385 Se pendant croyé moy, je vous suplie, mon tres reverend Pere, vostre tres humble et tres obaysente servante. A Paris, ce 1 0 fevrier 1 65 1 . // [f0 2r] Je suis si pressée que j ' ay pesné à m' espliquer hevitant les cocalane, cella m ' escuze de finir par où j ' ay du commancer, vous remersiant tres humblement de l' honneur que vous m' avé fait de me donner avis que vous parlerié, ces deux jours, \en public/, dens la chesse \de/ verité, où-je seroit ravie de vous entendre si la providance ne m'avait [?] par ceste mortificacion à [comencer] un tres rude caresme au plus fort du carnaval, de plus je . . . . bC' est qu'elle est malade M. l 'abbé d' Aglié a veu cette lettre. •mots surlignés dans le ms bles mentions qui suivent ont été apposées par Bailly de sa propre · main
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