La correspondance d'Albert Bailly Volume X Années 1677-1688 publiée sous la direction de Gianni Mombello

1 84 Correspondance d 'A. Bail�v - 1 6 77-1 688 et au c lergé lï1oneur que ses seren issimes aïeux lui ont faite de constituer le premier, e l le imitera, dis-je, sa pieté. Elle approuvera s a constitution jurée sur les Evangi l es", et enfin elle commencera à se detrornper de l 'opinion qu ' e l le a eu de sa bone foy de ces persones mal instruites ou peu amies de l ' Eglise, et de la verité qui ont essaié de persuader que ces Trois Etats sont abolis8. Au nom de D ieu, Madame, conservez vous vos anciens serviteurs. Croiés-le s plustost que ces persones interessées qu'elle conoit par sa propre experiencer, quand elle ne les conoitroit pas, par un bruit commun et fondé, gens faciles à se tourner à tous ventsg. Ne quittez jamais, dit Dieu, les anciens amis, pour les nouveaux. " et sur que; " me sur m '.r; ' est sur + ?+; d c )' dans le manuscrit; ' phrase surli gnée dans le manuscrit; 1 cette phrase est surlignée dans le manuscrit; g phrase surlignée dans le ma­ nuscrit. x Bail ly pourrait fa ire allusion aux personnages qui s'étaient rangés du côté du viba i l l i dans la dispute sur le droit de primauté pour la signature des procès-verbaux. En effet, en cas de victoire du vibai l l i , on aurait assisté en q uelque manière à la perte de la part des Valdôtains de plusieurs privi lèges dont ils jouissaient; ils auraient dû d ' a i lleurs supporter une ingé­ rence majeure, ainsi qu'un plus grand contrôle de la part de l 'administration centrale. Sur le droit de signature cf. n. 5, lett. 85 1 .

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