Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

1 02 Abbé Joseph Trèves les deux en hommage : donc gratis évidemment. J'aimerais bien de ta part à chacun d'eux une carte de remerciement. Je n'ai pas encore pu trouver les autres ouvrages com­ me 1°. le « Château de Châtillon », important; 2°. la « Mai­ son du Pays » ; 3°. « Ça et là », etc. Ils viendront je l'espère, mais à la longue. De la pa­ tience ! Je regrette vivement, crois-le, mon cher Félicien, de n'avoir pas pu faire de plus pour toi, malgré ma sincère bon­ ne volonté. En pensant à toi et à ton travail si consciencieux et si complet sur « Montjovet » il me revient avec toujours plus d'insistance l'idée que ce serait peut-être vraiment bien, que, au plus vite, dès cette année 1 925, si possible même tu com­ mences à donner au j our un premier travail modeste, si tu veux, mais sérieux. Cela t'aiderait en toutes manières, puis ce serait un premier commencement de publication de cette matière im­ mense. Et à nouveau, au cours de chaque année, tu en publie­ ras quelques détails, celui que tu croiras ; ce sera toujours là pour toi aussi un encouragement et comme un soulage­ ment, n'est-ce pas vrai ? Je dois te dire que jeudi prochain, 30 avril, je monterai à Promiod, résolu, espérons-le, à me soigner un peu mieux que par le passé pour tenir debout, Dieu aidant, encore quel­ ques années. Veuille bien me donner de tes nouvelles qui me sont toujours chères, et aie la bonté de croire à mon sincère dé­ vouement. Ton affectionné compatriote J. Trèves, r. P.S. J'oubliais de t'annoncer la publication du magnifi-

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