Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

1 1 2 Abbé Joseph Trèves J'attends, mon cher, avec un peu d'impatience cette co­ pie amicale de la Monographie historique dont tu m'as par­ lé ( ·k ) . Cela m'intéressera beaucoup. Je termine ici ces lignes hâtives mais fraternelles, appelé par des travaux urgents, mais non sans t'exprimer mes plus vifs remerciements pour ton offre si spontanée, si bienveil­ lante et si généreuse de ta fraternelle hospitalité turinoise. S'il plaît à Dieu, j 'en profiterai. Alors, je tâcherai de te préciser la portion que je me propose de prendre, Dieu aidant, de l'Histoire d'Emarèse. Pourchassé par les soucis, les travaux et les courses, exigés par la lutte pour le français et pour nos ELoles, je puis déjà te dire que ce serait beaucoup si je pouvais traiter un peu convenablement la partie intellectuelle ( les Ecoles) religieuse et morale, la Paroisse. La partie administrative, civile, militaire et économi­ que, et physique, tu peux déjà à peu près compter dès ce jour que je la laisserai à toi. N. B. Tu l'auras vu annoncé sur le « Duché » . En Fran­ ce on va nous donner une belle édition moderne du « Glos­ saire » de Ducange. Et vive ! P.S. Sois persuadé que je n'oublierai pas ta commission pour Mr. Brocherel. Mes saluts affectionnés à tous. J. Trèves, r. (*) Malesco.

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